Monday, March 8, 2010

Est-ce que c'est un YouTube rentable ?

C'est la grande question que plusieurs posent pour deviner la rentabilité de l'affaire du vidéo dans Internet.
Peter Kafka offre quelques données d'un annaliste de Citigroup, Mark Mahaney, obligées par l'opacité traditionnelle de Google sur ses comptes, bien qu'il cotise dans une bourse.
Les données sont très partielles, n'existe pas un calcul des prix du plus grand web de vidéo du monde, dans les revenus il se fait seulement une estimation sur CPM de MySpace et le CPC de Google n'est pas inclus, dès qu'il faut les prendre avec les précautions dues, mais si nous les prenons par bons ils servent à ébaucher quelques idées.
YouTube a le volume d'affaire d'une chaîne de télévision commerciale européenne. Avec quelques revenus de 727 millions de dollars en 2009 (535 millions d'euros) serait en dessous des revenus d'une télévision commerciale comme une Antenne 3, qui a facturé 592 millions du total 686 millions du groupe. Il se situerait encore plus loin de Telecinco, leader dans une rentabilité en Espagne, avec quelques revenus de 656 millions.
MySpace serait assez par dessous, avec quelques revenus publicitaires de 405 millions, bien que les prix soient estimés assez inférieurs à ceux d'YouTube.
La rentabilité du vidéo continue d'être très basse, bien qu'il grandisse fortement. C'est le grand problème pour la télévision dans Internet, comme pour le reste de moyens. Avec un CPM de 1,08 dollars (j'insiste que c'est une estimation discutable) la viabilité du vidéo dans Internet n'est pas très prometteuse. Quelques analyses avec lesquelles je me rencontre assez par l'expérience dans quelques projets, situent dans un CPM de 10 dollars (prés de 7 euros) CPM nécessaire pour soutenir une affaire de vidéo avec un contenu professionnel, la chose unique que jusqu'à présent a démontrée attirer à la publicité.
Cependant, la croissance est d'année en année forte dans le cas d'YouTube (41 %) et aussi si nous analysons les données du web des télévisions espagnoles.
Telecinco a obtenu en 2009 une augmentation de sa facturation par Internet et ses canaux thématiques de TDT de 26 % pour atteindre les 14 millions. Un volume de seulement 2 % au sujet des revenus totaux de la chaîne, mais qui a réussi à grandir en face de la chute de 33,8 % des revenus de publicité de la télévision.
Avec un si bas volume de revenus, il n'est pas étonnant que la bagarre aux États-Unis soit d'unifier toutes les chaînes à travers de l'émission par câble ou une large bande et d'augmenter l'affaire de télévision de paiement.
YouTube perd dans une rentabilité en face des télévisions. Si la marge de facturation publicitaire pour YouTube est d'un bas de 50 %, comme indienne l'analyse de Citigroup, la rentabilité pourrait être en dessous des chaînes de télévision. La raison est le plus grand prix des droits des contenus et l'énorme prix de connectivité, beaucoup plus cher que l'émission de télévision conventionnelle.
Même si quelques calculs sont acceptés sur la réduction de coûts de connectivité de Google, la facture de ses serveurs et d'interconnexion est plus grande que celle de la télévision conventionnelle, fort subventionnée dans ses infrastructures de plus avec un argent public, comme on peut vérifier avec le financement de l'implantation de la TDT.
La marge d'exploitation des chaînes commerciales est entre 11,5 % d'Antenne 3 et 19 % de Telecinco, bien qu'avant la crise il fût du double.
Mais une télévision conventionnelle a à peu près 15 % de prix de personnel et 30 % de consommation de droits, en plus de l'autre 55 % de prix opérants. Dans YouTube la structure de prix est complètement distincte, avec une plus grande incidence des droits de contenus et les frais de distribution en face de quelques prix de travail beaucoup plus petits.
Les nouvelles plate-formes augmentent le prix du prix des droits. Dans sa bagarre pour obtenir des contenus de qualité. Le paiement de 50 % des revenus publicitaires augmente le prix assez des producteurs professionnels les prix des droits pour l'affaire future.
Le même arrive dans la négociation des nouvelles plate-formes comme iPad et la pression sur Amazon et Google pour augmenter le prix du prix des droits des livres jusqu'à 70 % de sa facturation.
Bien qu'elle domine 40 % du marché de vidéo dans Internet aux États-Unis, très au-dessus d'autres plate-formes comme Hulu, Microsoft ou Fox (où s'intègre MySpace), l'affaire ne vient pas de décoller pour une compagnie qui a continué d'exploiter les diverses formes d'augmenter son affaire et sa rentabilité.
La comparaison des nombres réels fait comprendre aussi pourquoi la télévision continue d'être la reine de l'affaire des contenus très au-dessus des moyens digitaux et démonte certains des idées préconçues et peu informées qui circulent dans Internet sur les prix réels de l'affaire des contenus.
YouTube vaut-il ce que Google a payé ?
La rentabilité de la compagnie est très loin dont beaucoup d'annalistes prédisaient quand l'opération a été réalisée.
Les calculs de Cititgroup indiquent une facturation de peu plus de quatre dollars par utilisateur si nous prenons seulement en considération les internautes nord-américains (moins de la moitié avec les utilisateurs mondiaux). Ils seraient nécessaires huit ans de bons résultats pour compenser les 32 dollars par l'utilisateur qui se sont payés alors, déjà très loin de plus de 40 euros par le téléspectateur qui génèrent les télévisions espagnoles.
L'affaire du vidéo dans Internet est encore arrière-plan et YouTube sent déjà la pression des réseaux sociaux, qui offrent une fenêtre intéressante pour les contenus pas professionnels et aussi un écran de valeur pour beaucoup de moyens, les producteurs et les distributeurs de contenus qui essaient de profiter des occasions de la gestion d'utilisateurs et de marketing des réseaux sociaux.

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