Monday, March 15, 2010

Combien de souscripteurs web soutiendront un quotidien ?

La consommation de contenus de paiement est basse en Espagne. De plus, le public dépense plus dans les systèmes et les plate-formes d'accès, comme la large bande, les mobiles ou la télévision de paiement. La dépense moyens des citadins dans une consommation culturelle a été de 372,2 euros en 2007 selon la dernière donnée disponible, qui peut avoir augmenté jusqu'à environ 410 euros en 2009.
Selon l'Enquête d'Habits Culturels, les Espagnols dépensent un bas de 44 euros pour des périodiques par an, 12 % de la dépense totale. L'admission par utilisateur dans la télévision de paiement surveille les 40 euros par mois, comme la dépense dans une téléphonie mobile. Pour l'accès à Internet chaque personne dépense 47,5 euros par an.
Différentes études de consommation des quotidiens indiquent que le lecteur apprécie seulement autour de 20 % du contenu. Une relation valeur / prix de 20 centimes quotidiens, six euros mensuels que pourraient arriver même prés de 7,6 euros si nous comptons le dimanche.
Suffisant pour un grand quotidien national ?
Prenons comme hypothèse un grand quotidien national avec quelques revenus de 240 millions d'euros par an. Croyons qu'il obtient déjà 10 % d'Internet : 24 millions. Les revenus de papier sont divisés à 60 % pour la publicité et à 40 % de la vente d'exemplaires : 129,6 millions de publicité et 86,4 de la vente d'exemplaires.
Si les bénéfices sont d'huit pour cent (dans des temps de crise), le prix du quotidien surveillerait les 220 millions.
Un grand quotidien pourrait convertir 20 % de ses acheteurs au paiement dans le meilleur des cas, ce qui baisserait les revenus de papier à 69 millions d'euros.
S'il peut soutenir la publicité dans un papier avec cette chute d'exemplaires, les revenus seraient de 198,6 millions. Fermer un Internet au paiement transporterait une descente de la facturation publicitaire digitale d'au moins l'autre 30 %, dès 24 millions jusqu'à 16,8. Quelques revenus totaux de 215,4 millions.
La réduction de prix avec la diminution du lancer pourrait être d'environ 10 millions d'euros entre un papier, une impression et une distribution, un prix de 210 millions qui grandirait au moins jusqu'à 212 avec la nécessité d'implémentation, de gestion et la promotion du modèle de paiement.
Pour soutenir la rentabilité il faudrait facturer 229 millions, 4,5 % moins qu'avec le modèle précédent d'affaire. Il serait nécessaire d'obtenir 13,6 millions de revenus annuels de paiement. Un total 30,4 millions de revenus dans Internet et une augmentation de presque 27 % des revenus digitaux.
Il transporterait une forte chute des utilisateurs uniques, mais il exigerait une croissance de la quotité de revenus par Internet jusqu'à 13,3 % de la facturation, du point moyen au-dessus de la proportion du marché d'Internet dans le total publicitaire mais assez plus qu'ont l'habitude d'obtenir les quotidiens dans Internet.
À un prix de dix euros mensuels on aurait besoin de 114.000 utilisateurs. S'il se rabaisse jusqu'à 12 % de la dépense annuelle avec contenus, les revenus par utilisateur devraient être de 50 euros par an et on aurait besoin de 272.00 utilisateurs. Avec un prix intermédiaire de 7,90 euros par mois 144.000 utilisateurs seraient nécessaires.
Est-il possible d'arriver à cette quantité ? La réponse que beaucoup de responsables évaluent a seulement pour le moment un guide : le Financial Times, un quotidien qu'il a obtenu 121.000 souscripteurs de paiement avec une diffusion dans un papier de 400.000 exemplaires.
Un objectif qui semble difficile de réussir avec la concurrence et l'actuel marché, mais qu'il soit sur la table de plusieurs et qu'il explique l'option par les modèles de paiement seulement dans des plate-formes de l'accès comme les mobiles ou les lecteurs digitaux.

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